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Ciel unique: Comment assurer la réorganisation de l'espace aérien européen prend son envol

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20140129PHT34109_originalAvec 27,000 1990 vols traversant le continent chaque jour, le ciel européen risque de devenir complètement saturé à moins que l'espace aérien ne soit organisé plus efficacement. L'Union européenne a lancé l'initiative du ciel unique européen à la fin des années XNUMX pour supprimer les frontières nationales dans le ciel, permettant aux avions d'emprunter des itinéraires plus directs et rendant les voyages aériens plus sûrs, plus verts et plus compétitifs. Cependant, les progrès de ce projet se sont avérés très lents. Les députés étudient actuellement des plans pour améliorer la mise en œuvre.

Le coût de la fragmentation

L’espace aérien européen est structuré autour de frontières nationales: les systèmes nationaux de contrôle du trafic aérien 28, qui gèrent environ les centres de trafic aérien 60, divisés en plus de secteurs 650. Cette fragmentation signifie plus d'inefficacité. Les vols sont souvent incapables de prendre des itinéraires directs, ce qui rend les temps de vol, la consommation de carburant et les émissions de CO2 plus élevés que nécessaire. Le coût de cette opération est d'environ un milliard d'euros par an, qui est répercuté sur les passagers.

Retards dans la mise en oeuvre

Le projet de ciel unique européen a été lancé à la fin des années 1990. Un premier train de mesures appelé SES1 a été adopté en 2004, mais comme il n'a pas produit les résultats escomptés, une version mise à jour connue sous le nom de SES2 a été lancée en 2009. La proposition actuelle SES2 vise à accélérer la réforme des services de navigation aérienne. des retards encore importants dans la mise en œuvre.

La nouvelle proposition

La proposition SES 2 + traite de deux problèmes majeurs:

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  • L'efficacité insuffisante de la navigation aérienne: supprimer les frontières nationales permettra de créer des itinéraires plus courts, réduisant ainsi la consommation de carburant. La séparation organisationnelle et budgétaire des autorités de surveillance nationales des organisations de contrôle du trafic aérien améliorera à la fois la sécurité et la supervision.
  • Gestion fragmentée du trafic aérien: les blocs de trafic aérien nationaux 28 actuels seront remplacés par neuf blocs régionaux déjà créés mais qui ne sont pas encore pleinement opérationnels. SES 2 + rendra également le paramétrage de la cible plus indépendant, transparent et applicable afin d’améliorer les performances.

La commission des transports a voté sur la proposition le 30 de janvier. Il devra être approuvé par le Parlement et les États membres avant de pouvoir entrer en vigueur.

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EU Reporter publie des articles provenant de diverses sources extérieures qui expriment un large éventail de points de vue. Les positions prises dans ces articles ne sont pas nécessairement celles d'EU Reporter.

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