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#CETA: Région belge de Wallonie détient UE-Canada Commerce-deal rançon
La semaine dernière (14 Octobre), le parlement de Wallonie dirigé par Paul Magnette a décidé de rejeter l'Accord économique et commercial global (AECG) entre l'UE et le Canada. La plupart pensaient cette petite ride sur la route à un accord qui a été négocié de façon exhaustive et expliqué seraient résolus au sommet européen de cette semaine, mais hélas pas.
La Wallonie est l'Ohio de l'Europe - elle avait un passé industriel et syndical glorieux, mais depuis que son industrie lourde est tombée en déclin, elle est entrée dans une profonde récession économique. Comme les partisans de Trump de l'Ohio, l'opposition aux accords commerciaux internationaux et une approche protectionniste fonctionnent bien avec ce public. Les assurances de la Commission selon lesquelles les accords commerciaux peuvent être «gagnant-gagnant» ne convainc pas cette petite région de 3.5 millions d'habitants.
Ce qui est surprenant est que la région de la Wallonie a été en mesure de tenir le reste de l'Europe et même le reste de la Belgique en otage. arrangements constitutionnels particuliers belges donnent le pouvoir des régions à être consulté sur les questions internationales. Les dirigeants européens sont confiants qu'un accord peut être atteint et beaucoup ont noté la capacité de Begium à faire des compromis et parvenir à un accord.
Paul Magnette, ancien président régional inconnu, profite de sa journée au soleil et du soutien de ceux qui sont également opposés à l'AECG, y compris les eurodéputés verts du Parlement européen. Il a déclaré: "Une fois qu'un débat démocratique est ouvert, il est difficile de l'arrêter. J'espère que de nombreux parlements analyseront l'AECG aussi sérieusement que le nôtre."
Entre-temps, les préoccupations roumains et bulgares sur la libéralisation des visas ont été assouvi avec l'assurance qu'un accord sur cette question pourrait être accordée par la fin de 2018.
La Commission et le Conseil ont pris la décision de donner à l'accord un soutien démocratique supplémentaire en le soumettant à chaque pays, ce que l'on appelle un «accord mixte». L'accord avait déjà été accepté au Conseil, avec le signe de tête de tous les chefs de gouvernement et du Parlement européen. Pour arriver à ce stade, l'UE avait garanti qu'elle protégerait et respecterait pleinement les normes européennes dans des domaines tels que la sécurité alimentaire et les droits des travailleurs. L'AECG contient toutes les garanties pour s'assurer que les gains économiques ne se font pas au détriment de la démocratie, de l'environnement ou de la santé et de la sécurité des consommateurs. L'accord est présenté par les spécialistes du commerce comme un modèle pour de futurs accords commerciaux.
Leçons pour le Royaume-Uni
Les plans du Royaume-Uni pour post-Brexit de vie sont, encore, loin d'être clair, avec la spéculation sur si le Royaume-Uni va aller pour un Brexit dur, Brexit doux, Brexit sale, Brexit intelligent, Brexit stupide ou un Brexit sunny-side-up ( ce qui signifie sans doute pas Brexit du tout).
Certains ont émis l'hypothèse qu'un accord de type AECG pourrait être la seule option pour le Royaume-Uni si elle veut un contrôle complet de ses frontières, et la liberté de négocier des accords commerciaux avec le reste du monde.
Si oui, le cours accord UE-Canada raconte un récit édifiant. Le Royaume-Uni peut anticiper une négociation de longue haleine-out, sans aucune garantie que l'unanimité requise pour l'accord sera atteint.
En effet, si les relations Canada-UE sont compliquées, les relations Royaume-Uni-UE le sont plusieurs fois plus, car le Royaume-Uni est beaucoup plus tributaire du commerce avec l'UE. Theresa May aurait déclaré à son cabinet que si le Royaume-Uni choisissait l'option `` dure '' du Brexit, il devra augmenter ses échanges avec d'autres partenaires commerciaux de 37% - un défi de taille pour toute économie, et particulièrement difficile sans aucune idée de quel type relations que le Royaume-Uni entretiendra avec des partenaires non européens après le Brexit.
Le Premier ministre mai rencontre avec Jean-Claude Juncker cet après-midi. A la lumière de (21 Octobre) le développement d'aujourd'hui, la main de la Commission sera encore renforcée dans les négociations futures au Royaume-Uni de l'UE.
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