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Les sondages à la sortie des urnes kazakhs placent le parti au pouvoir sur la bonne voie pour la victoire électorale

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Alors que les votes sont toujours comptés, trois grands sondages à la sortie des urnes au Kazakhstan ont mis le parti Amanat sur la bonne voie pour une victoire confortable aux élections d'un parlement qui a acquis des pouvoirs en vertu de la nouvelle constitution du pays. Les résultats projetés indiquent également une opposition vive, bien que divisée, dans les nouveaux Mazhilis, écrit le rédacteur politique Nick Powell.

Après des réformes constitutionnelles qui ont considérablement facilité la formation d'un parti politique et la campagne électorale, il semble que la plupart des électeurs kazakhs soient restés fidèles au parti Amanat, autrefois dirigé par le président Kassym-Jomart Tokayev. Il a quitté le parti l'année dernière, dans le cadre des réformes qui ont fait passer le Kazakhstan d'une forme de gouvernement super-présidentiel à un système présidentiel-parlementaire.

Trois sondages de sortie différents placent tous Amanat dans un point de pourcentage de 54%. Connu sous le nom de Nur Otan (Patrie radieuse) jusqu'à l'année dernière, Amanat (Engagement) signifie l'appel du président Tokayev à la réforme de l'ensemble du parti. Il semble qu'il s'est adapté avec succès au nouveau climat politique. Il s'agit d'une large alliance politique et sa victoire suggère qu'une politique et une économie plus larges seront désormais promulguées.

Le Parti démocratique populaire social-démocrate d'Auyl, qui a participé aux précédentes élections de Mazhilis sans remporter un seul siège, est en bonne voie pour la deuxième place. Les trois sondages à la sortie des urnes lui donnent 10 % ou 11 %. Le Parti démocratique Aq jol et le Parti populaire sont également en passe de franchir le seuil de 5% requis pour entrer dans le Mazhilis, le Parti national social-démocrate étant également susceptible de franchir la ligne.

Le débat politique au sein du nouveau parlement portera probablement davantage sur le rythme de la réforme que sur son orientation. Le parti vert Baytaq n'a peut-être pas remporté suffisamment de voix. Il soutient également largement les réformes du président, mais espère gagner davantage de soutien dans un pays qui a connu deux catastrophes écologiques majeures, l'une causée par des essais nucléaires de l'ère soviétique et l'autre par le détournement d'eau de la mer d'Aral par l'ex-URSS.

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