Catalogne;
#Catalonia votes dans l'élection pivotale pour la campagne de l'indépendance
La Catalogne jeudi (21 décembre) tient une élection régionale que le gouvernement espagnol espère dépouiller les partis indépendantistes de leur contrôle du parlement catalan et mettre fin à leur campagne pour forcer une scission avec l'Espagne, écrire Angus Berwick et Sonya Dowsett.
Le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy, a appelé le vote de décembre 21 en octobre dans l'espoir de ramener la Catalogne à la "normalité" sous un gouvernement unioniste. Il a limogé son gouvernement précédent pour avoir organisé un référendum interdit et déclaré son indépendance.
Une nouvelle majorité séparatiste affaiblirait encore la confiance des investisseurs dans la Catalogne, qui a elle-même une économie plus grande que celle du Portugal et qui est le principal moteur de la croissance économique de l'Espagne. Cependant, les dirigeants indépendantistes ont récemment renoncé aux demandes de sécession unilatérale.
Les bureaux de vote de la région aisée du nord-est de l'Espagne ouvriront jeudi à 8h GMT et fermeront à 19h GMT. L'élection devrait attirer un record de participation.
Le vote de jeudi est devenu de facto référendum sur le soutien apporté au mouvement pour l'indépendance au cours des derniers mois.
Ainsi, les analystes s'attendent à ce que le prochain gouvernement catalan résulte de semaines de marchandage entre partis sur des coalitions viables.
Une analyse des données de sondage par le quotidien madrilène El Pais publié mardi a révélé que le scénario le plus probable est des séparatistes obtenir une majorité avec le soutien ou l'abstention de la branche catalane du parti anti-austérité Podemos.
Selon les analystes, Podemos est pris entre deux options qu'il n'aime pas particulièrement, mais préférerait soutenir les séparatistes plutôt qu'une coalition impliquant le PP de Rajoy.
Les partis séparatistes ont fait campagne contre la toile de fond des tribunaux espagnols qui enquêtaient sur leurs chefs sur des allégations de rébellion pour leurs rôles dans le référendum d'octobre 1, qui a été jugé anticonstitutionnel.
Carles Puigdemont, le président catalan dépossédé, a mené une campagne d'exil auto-imposé à Bruxelles et son ancien vice-président, Oriol Junqueras, l'a déjà fait derrière les barreaux de Madrid.
Dans un entretien écrit avec Reuters publié lundi, Junqueras a frappé un ton conciliant et a ouvert la porte à la construction de ponts avec l'Etat espagnol.
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